189e réunion de l’OPEP : continuité et engagement pour la stabilité pétrolière
Le ministre de l’Énergie, des Mines et des Énergies Renouvelables, Mohamed Arkab, a représenté l’Algérie ce mardi lors de la 189e réunion ministérielle de l’Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole (OPEP). Cet événement s’est tenu par visioconférence en présence du président-directeur général de Sonatrach, Rachid Hachichi, et de hauts responsables du ministère.
Cette rencontre stratégique a réuni les ministres des 12 pays membres de l’OPEP, qui ont évalué les performances et les activités de l’organisation durant l’année écoulée. Les discussions ont également porté sur les priorités à venir, dans un contexte où la stabilité des marchés pétroliers demeure cruciale face aux incertitudes économiques mondiales.
Reconduction du mandat du secrétaire général
L’un des points marquants de cette réunion a été la décision unanime des ministres de prolonger le mandat du secrétaire général de l’OPEP, Haitham Al-Ghais, pour une durée supplémentaire de trois ans à compter du 1er août 2025. Cette reconduction témoigne de la confiance des pays membres envers sa gestion et de leur volonté d’assurer la continuité des efforts de l’organisation.
Huit ans de coopération
La réunion coïncidait avec le huitième anniversaire de la Déclaration de coopération, un accord historique visant à renforcer la collaboration entre les membres de l’OPEP et d’autres acteurs clés de l’industrie énergétique. À cette occasion, les ministres ont réaffirmé leur engagement à garantir la stabilité du marché pétrolier mondial tout en approfondissant leur coopération avec les partenaires internationaux.
Une vision commune pour l’avenir
En s’impliquant activement dans ces travaux, l’Algérie, membre fondateur de l’OPEP, réaffirme son rôle stratégique dans la définition des politiques énergétiques mondiales. L’engagement renouvelé de l’organisation et la reconduction de son secrétaire général visent à répondre aux défis actuels et à maintenir l’équilibre des marchés, essentiel pour les économies des pays producteurs, y compris l’Algérie.