Au siège du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, des accords de partenariat ont été signés avec le ministère de l’Environnement et de la Qualité de vie, en plus de visiter une exposition sur les institutions émergentes, et ce sous la supervision du ministre de l’Enseignement supérieur, Kamal Baddari, et de la ministre de l’Environnement et de la Qualité de vie, Nadjiba Djilali.
Le ministre Baddari a évoqué l’importance de coordonner avec le secteur de l’environnement pour développer la recherche scientifique, en aidant les entreprises innovantes à trouver de nouvelles solutions de façons à améliorer le niveau de vie des citoyens.
Aussi, activer tous les moyens pour atteindre ce que le ministre Baddari a appelé « économie immatériel » lié au domaine de l’environnement, car il s’agit d’un secteur qui a besoin de solutions innovantes basées sur la science pour de nombreuses crises que le monde connaît aujourd’hui.
Le ministre Badari a souligné la nécessité d’atteindre ce qu’il a qualifié de coopération entre le ministère de l’Enseignement supérieur et le ministère de l’Environnement pour exploiter les laboratoires de recherche relevant de la tutelle du ministère de l’Enseignement supérieur.
Les laboratoires seront mis à la disposition des cadres du ministère de l’Environnement pour qu’ils soient en contact direct avec les chercheurs. Le deuxième accords se déroulera entre six institutions économiques dans le but de promouvoir des solutions pour les institutions dans le domaine environnemental.
La ministre de l’Environnement et de la Qualité de vie, Nadjiba Djilali, a souligné que le dialogue constructif entre les sociétés économiques basées sur l’innovation contribuerait à plus de production, et ce dans une stratégie de construire une économie propre, grâce à des modèles créatifs qui aideraient à aller vers une transition environnementale et économique offerte par l’économie verte et de l’économie bleue.
La ministre Nadjiba Djilali a conclu que la jeunesse est au cœur de la stratégie de l’État pour construire une véritable base économique, prônée par des jeunes universitaires qui possèdent toutes les qualifications pour mettre en place une économie moderne, en contribuant à l’amélioration du rendement des institutions économiques, et ce dans le cadre de l’économie du savoir, de l’économie verte et de l’économie de recyclage.
