Lors du sommet BRICS+ qui se déroule à Kazan, en Russie, l’Algérie aurait été admise en tant que « membre partenaire » de l’alliance des BRICS.
En effet, selon certaines sources, ce sont au total 13 nouveaux pays qui ont auraient intégrés au statut de « membres partenaires », parmi lesquels l’Algérie, la Biélorussie, Cuba, le Kazakhstan, la Malaisie, et le Vietnam.
L’Algérie, ainsi que le Nigéria, figure parmi les rares pays africains à avoir été inclus dans cette nouvelle vague de partenariats. Cette décision pourrait ouvrir la voie à une adhésion pleine et entière de l’Algérie aux BRICS, une ambition que le pays nourrit depuis un certain temps. En effet, en août dernier, Alger avait déjà été admise à la Nouvelle Banque de Développement (NBD) des BRICS, sans pour autant obtenir le statut de membre à part entière de l’alliance.
Avec cette expansion, le bloc des BRICS, qui regroupe désormais des puissances émergentes et des nations en développement, représente environ 26,2 % du PIB mondial. Un chiffre qui met en évidence l’influence croissante de cette alliance sur la scène internationale, face aux économies traditionnelles du Groupe des Sept (G7).
L’intégration de l’Algérie en tant que « membre partenaire » pourrait ainsi marquer un tournant stratégique dans ses relations internationales, renforçant son rôle sur la scène économique et géopolitique mondiale.
