D’après l’expert économique Djeloul Salama, » Il faut une refonte des mécanismes qui réagissent les communes,les daïras et les wilayas. Car les exigences économiques actuelles exigent une flexibilité significative en matière de gestion de ces instances. »
Et il ajoute que » Un commune, une daïra, doit être au service de la promotion du développement économique, en fonction des caractéristiques régionaux, d’où l’importance de la coordination pour plus d’attractivité d’investissement. Il faut que les autorités compétentes s’engagent résolument dans le développement durable, et ce par la mise en place d’une stratégie globale qui intégrera le fonctionnement des différentes organismes de l’État dans un contexte économique national et international basé sur l’accélération dans l’établissement des projets et les délais fixés pour la réalisation « .
Enfin, l’expert Djeloul Salama estime que » L’Algérie doit formuler une symétrie entre l’économie et la géographie pour avoir une garantie une réalisation économique durable et réaliste. C’est à dire toutes les couches sociales s’impliquent dans le processus du développement économique durable, et qui ne peut être possible que si les autorités compétentes s’appuient sur des personnes compétentes, bien loin des procédures bureaucratiques qui entravent les grandes décisions prises par les hautes autorités du pays pour développer le secteur économique, et la diversification des ressources de revenus de l’État. Il faut donc abandonner définitivement les anciennes méthodes de gestion des communes et adopter des méthodes purement économiques ».
