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La DGI prévoit sa généralisation à la fin de l’année 2018

Le nouveau système d’information fiscal

Le directeur de la communication et des relations publiques au niveau de la direction générale des Impôts, Ben Ali Ibrahim, prévoit que le nouveau système d’information fiscal, entré en vigueur depuis le 4 avril, va générer une véritable « évolution» dans la gestion du secteur.

D’autant plus qu’il est considéré comme étant l’une des reformes les plus importantes opé- rées dans la gestion des Impôts en Algérie. Ce système permet d’énormes prestations et facilitations pour les citoyens concernés et les agents du secteur des Impôts du moment où toutes les déclarations, les virements d’impôts ainsi que la gestion de la relation entre cette administration et l’entreprise, se feront à distance, toujours selon les propos de Ben Ali Ibrahim, l’invité d’une émission diffusée par la Chaîne I de la Radio nationale.

Ce nouveau système permettra aussi aux agents du secteur de bien gérer leur travail et «sans aucune erreur», affirme le même responsable qui met en valeur l’efficacité de ce système notamment pour ce qui est du gain de temps dans la gestion de leurs tâches. Le même responsable affirme que ce nouveau système sera appliqué graduellement, la direction des Impôts d’ Alger – est a été concernée par cette application nouvellement.

Lors des prochains mois, ce système touchera d’autres centres d’impôts au niveau de certaines wilayas telles que Sétif, Mascara et Mostaganem. Dans une autre étape, ce nouveau système d’information fiscal sera appliqué pour la direction des grandes entreprises, dix centres d’impôts ainsi que pour les nouvelles structures de ce secteur.

Le directeur de la communication et des relations publiques au niveau de la direction générale des Impôts, Ben Ali Ibrahim, prévoit que ce nouveau système sera généralisé à la fin de l’année prochaine 2018 tout en soulignant que cet échéancier fait l’objet d’un contrat signé avec une entreprise étrangère. Toujours pour ce qui est des capacités de ce système, le même responsable parle d’un système global qui permet une bonne réception du lien, déterminer le cercle et le contrôle fiscal, le recouvrement ainsi que pour le contentieux et l’évaluation.

Le même responsable affirme que le montant de la fiscalité ordinaire a atteint les 3 075 milliards de dinars à la fin de l’année 2016 avec un taux positif de 9 % tandis que la fiscalité pétrolière a été de l’ordre de 1 682 milliards de dinars. Dans le cercle de cette fiscalité ordinaire, la direction générale des Impôts a pu récolter 2 630 milliards de dinars, ce qui reflète la réalisation des objectifs tracés par la loi de finances à hauteur de 121 % tandis que pour le reste de cette fiscalité, la réalisation des objectifs a atteint les 111% ce qui explique une présence d’une certaine activité économique dans le pays, toujours selon le même invité.

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