La numérisation des domaines, une étape cruciale pour la maîtrise économique
Le ministère a pris la décision de mener une réforme financière, pour permettre aux différents secteurs économiques de circuler avec plus de fluidité.
D’après, l’expert économique Frères Mesdour, » La numérisation des domaines de l’État est cruciale, car une partie de nos problèmes économiques proviennent des obstacles existant dans certains domaine. De même, plusieurs affaires de en rapport aux domaines de l’État traînent au niveau de la justice depuis 30, 40 et voire 50 ans sans aucune résolution. Mais il faut être vigilant quant au traitement de ce dossier. Parce qu’il existe des tentatives d’infiltrer le système économique algérien à travers la vente des biens et des terres aux étrangers. Il faut aussi être vigilant envers des faux noms qui appartiennent au système financier sioniste qui viennent a travers des faux noms. C’est un sujet dangereux même si beaucoup de personnes ne lui donnent pas d’importance, et après leur échec de faire pression sur l’économie nationale de l’extérieur, ils tentent de dominer l’économie nationale de l’intérieur ».
Et il souligne que » Le ministre des Finances, Laaziz Faïd, a raison dans sa décision de numériser le secteur des domaines que ce soient ceux appartenus à l’État ou au privé »
L’expert économique Mesdour, ajoute que » Le ministère des Affaires religieuses a pris l’initiative de charger le bureau El Manar,sur une base de financement islamique, d’effectuer une recherche sur les terres de wakf ,et il y’a eu récupération de certains terrains « .
Et il considère que « L’introduction de la réforme est toujours nécessaire tant qu’il y a un manque d’efficacité dans le système financier. Et je considère que l’ancien système financier n’a pas abouti aux objectifs tracés, en raison d’un système fiscal multiple avec des taux élevés, qui éloigne l’Investissement. Et ce à l’exception du nouveau code d’investissement qui offre des avantages fiscaux et douaniers aux investisseurs étrangers qui établissent des partenariats avec des investisseurs algériens. Il faut donc revoir le système financier de manière générale tant sur la fiscalité, les douanes et même les banques « .