L’Algérie œuvre à réaliser son indépendance hydrique

En marge de la conférence organisée au sein de la faculté de droits de l’Universte d’Alger 1, à l’occasion de la commémoration de la 54e année de la nationalisation des hydrocarbures et la création de l’Union Générale des Travailleurs Algériens, UGTA, qui correspond au 24 février de chaque année, le sénateur Mohamed Amroun a déclaré à notre rédaction, que, depuis l’élection du président Abdelmadjid Tebboune à la tête de l’État, des efforts ont été déployés pour réaliser ce qu’il a qualifié de » sécurité générale ».
Il a souligné que l’agriculture représente 15%, équivalent de 37 milliards de dollars, de la production interne brut, PIB, ce qui représente un chiffre fort important.
Le stresse hydrique s’impose de plus en plus aujourd’hui, d’où le sénateur Mohamed Amroun a évoqué, en disant que plusieurs pays du monde souffrent de la sécheresse et du manque d’eau, ce qui fait de la sécurité hydrique un défi majeur à tous les pays du monde, et un défi stratégique pour l’État algérien, et en ces dernières années la région du Nord de l’Afrique a connu un changement climatique.
Enfin, le sénateur a considéré que les projets lancés par le président Tebboune renforceront la sécurité hydrique dans les prochaines années. Que ce soit d’anciens projets ou ceux en cours, le but de l’Algérie est de réaliser « l’indépendance stratégique » en domaine de l’hydraulique, l’agriculture et l’énergie. Tous ces projets révèlent la vision future de l’État algérien en matière de sécurité nationale générale