
Kristalina Georgieva a déclaré hier que le FMI ne devrait pas revoir à la baisse ses prévisions de croissance de 2,7 % cette année. Cette position s’appuie sur le fait que la flambée redoutée des prix du pétrole ne s’est pas matérialisée et que les marchés du travail sont restés solides.
La directrice générale du FMI s’attend toujours à une autre « année difficile » pour l’économie mondiale avec une inflation tenace.