D’après l’experte en économie, Dr. Fatma Zohra Masbahi, que « La relation entre l’Algérie et la Banque Mondiale est de grande importance et stratégique. Cette instance mondiale offre une aide technique aux pays pour exécuter sa politique économique, et ce non seulement en matière de finance mais aussi des consultations techniques qui aident les pays à réaliser leur programme».
Et puisque l’Algérie est dans une situation financière stable, avec une réserve de change de 72 milliards de dollars, d’après les déclarations du ministre des Finances Laaziz Faïd, il existe des possibilités de mener à bien sa politique économique.
L’experte économique Mesbahi ajoute que « Il est possible de dire que ces rapports devancés par la Banque Mondiale donne plus de crédibilité à la fonction économique de l’Algérie, notamment en termes de transparence pour améliorer les secteurs prioritaires fixés par les autorités algériennes à savoir l’agriculture, l’industrie, et les services en vue d’atteindre l’efficacité d’exécution des projets, surtout dans le contexte international actuel caractérisé par des rapports conflictuels. Le but recherché est de garantir un développement économique durable ».
Toutes ces données affirment l’intention des autorités algériennes à concrétiser ses perspectives économiques. Et l’experte économique Dr. Fatma Zohra Mesbahi met le point sur certains éléments qu’elle juge importants « Ces points évoqués par le vice-président de la Banque Mondiale pour la région Moyen-Orient et l’Afrique du Nord Ousmane Dione aident l’Algérie à fixer les secteurs économiques en priorité en vue d’attirer les investissements étrangers en premier lieu. De même, les consultations de cette instance mondiale aident l’économie algérienne à maîtriser l’inflation, et à mener une politique financière plus efficace ».
