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Paris dans l’impasse : la France piétine ses propres accords dans une vaine tentative d’intimidation contre l’Algérie

À court de solutions et en perte d’influence, la France s’enlise dans une politique de provocation stérile envers l’Algérie.

Dernière manœuvre en date, l’annonce faite par le ministre français de l’intérieur, Bruno Retailleau, lors d’une declaration à France Inter, sur suspension unilatérale des accords de 2007, qui permettaient aux détenteurs de passeports diplomatiques algériens d’entrer en France sans visa. Une décision précipitée et désespérée, prise en réaction au refus catégorique d’Alger d’accepter la liste de 60 ressortissants que Paris cherche à expulser.

Dans une posture aussi arrogante que pathétique, le premier flic de France , menace l’Algérie de « une réponse graduée », et d’un « manque de coopération ». Pourtant, la vérité est toute autre. C’est la France qui, incapable de gérer ses propres crises internes, tente de détourner l’attention en ressuscitant ses vieux réflexes néocoloniaux.

Mais l’Algérie n’est plus cette nation soumise aux diktats parisiens. Alger a balayé d’un revers de main ces menaces dérisoires, rappelant que toute question migratoire doit se traiter dans le cadre des accords bilatéraux, et non par des injonctions dignes d’une époque révolue. La France, engluée dans son arrogance et son déclin, peine à accepter que l’Algérie soit aujourd’hui un acteur majeur sur la scène internationale, libre de ses choix et maître de son destin.

Ce nouvel épisode vient s’ajouter à une longue série de provocations françaises, symptomatiques d’un pays en pleine perte de repères, qui ne sait plus comment maintenir une influence sur ses anciennes colonies. Mais les temps ont changé, et les menaces de Paris ne font plus trembler personne à Alger. À force de mépris et de maladresses diplomatiques, la France ne récoltera que l’isolement et la rupture définitive d’une relation qu’elle s’obstine à saboter.

 

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