En ces dernières années, les réseaux sociaux sont devenus une source de propagation de bas de sujets au milieu de plusieurs catégories de la société algérienne. Des thèmes dits osés, qui franchissent les tabous commencent à trouver de la réaction, notamment des jeunes.
D’après la sociologue Dr. Kessour Assia que l’espace virtuel a de l’impact sur les jeunes et les enfants en particulier. À travers des contenus appelant à la dépravation comportementale, des influenceuses et influenceurs propagent dans les réseaux sociaux. Le but est de faire un « Buzz » , et la renommée sociale. Des mots mal placés, des scandales, et des vidéos qui portent atteinte à la morale font la matière la plus vue et la plus suivie.
Pour la sociologue Kessour Assia, l’absence de contrôle parental pour suivre les choix des enfants, alors que les réseaux sociaux sont devenus aujourd’hui un concurrent dans l’éducation des enfants. La déstabilisation que vivent certaines relations familiales ont un impact négatif sur les enfants et leur éducation, notamment le sentiment de se rebeller sur l’autorité parentale.
La portée des smartphones chez les enfants crée une situation d’isolement. L’enfant aurait un penchant pour rester seul, le risque de rencontrer des images et vidéos malsaines participent à la propagation des mauvais comportements dans la société algérienne d’aujourd’hui.
