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Revoir la catégorie d’âge et le plafond de financement du dispositif Ansej

Par/Agences 

Les travaux de l’Atelier sur les micro-entreprises et les startups, organisé dans le cadre de la conférence nationale sur le plan de relance pour une économie nouvelle, ont conclu de la nécessité de revoir la catégorie d’âge et de relever le plafond de financement du dispositif Ansej, conformément aux exigences du marché et aux opportunités disponibles.

Supervisés par le ministre délégué auprès du Premier ministre, chargé de l’Economie de la connaissance et des Startups, Yacine Oualid, qui a présenté, mercredi soir, le rapport final, cet Atelier a conclu également à la nécessité d’élaborer une liste d’idées de projets générateurs de richesses et réalisables à court-terme afin d’orienter les entrepreneur vers eux.

Les participants ont en outre appelé à l’encouragement de la création, dans les zones d’ombre, d’entreprises de services en vue de répondre aux différents besoins, notamment des entreprises gérées par des citoyens de ces zones à même de réaliser le développement et de créer des emplois, et ce, en coordination avec les collectivités locales.

Ils ont préconisé, dans le même sens, l’encouragement de la création de micro-zones d’activités, particulièrement dans les Hauts-Plateaux et le Grand Sud, pour héberger des secteurs créateurs de richesses et satisfaire les besoins du marché local, tel que l’agriculture saharienne, l’industrie de transformation, l’artisanat et les services.

Les experts ont également proposé la mise en place d’une plateforme numérique unifiée, englobant toutes les données relatives aux micro-entreprises, permettant de consulter les informations juridiques et administratives et d’avoir accès aux services de toutes les micro-entreprises.

L’encouragement de la création de cabinets Conseil dans le secteur privé, a, en outre, été recommandé pour offrir des prestations d’accompagnement aux entreprises nouvellement créées, ou aux porteurs de projets dans tous les domaines, y compris administratifs et juridiques.

L’Atelier a également conclu de la nécessité de diversifier les sources de financement, d’assurer un accompagnement orienté selon les besoins du marché et adapté aux données réelles, d’organiser des foires locales et internationales dédiées à la vulgarisation des micro-entreprises algériennes, la commercialisation des produits et services qu’elles offrent.

 

 

 

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