Chronique de Malek Harami
A supposer déjà que c’en est une.
Nous n’avons pas été retenus parmi les six premiers pays devant rejoindre le groupe des BRICS.
Et ça a enflammé les réseaux sociaux.
Toutes sortes d’analyses, de commentaires et de positions.
Ce qui est, en soi, une bonne chose.
Ce qui, au contraire ne l’est pas, ce sont les discours défaitistes, les lamentations et l’autoflagellation des uns et les « on vous l’a dit » des autres.
1-L’option d’adhésion au groupe BRICS constitue un choix stratégique pour l’État algérien dans le contexte de la recherche d’un nouvel ordre mondial multipolaire.
2-Lorsque nous avons soumis la demande d’adhésion, les membres des BRICS n’étaient pas encore d’accord sur l’expansion du groupe ni sur les critères à retenir pour l’acceptation de nouveaux membres.
3-Si en 2023 nous ne remplissons pas les conditions requises, ce n’est pas la fin ; Nous devons maintenant préparer un plan pluriannuel qui comprend des objectifs stratégiques liés à ces normes et travailler sur ce plan au cours des cinq prochaines années.
4-En attendant, nous sommes membre contributeur de la Nouvelle Banque de Développement, et nous bénéficierons des expériences et de l’expertise des pays membres.
5-Beaucoup de travail reste à faire.
Nous devons tous nous mobiliser pour une Algérie émergente et souveraine.
Au travail
