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COMMENTAIRE & CHRONIQUE

Un été à Alger

Un été à Alger

Une chronique écrite par : Malek Harami

C’est l’été.
BMS sur BMS, la canicule s’installe confortablement à l’ombre. Des températures extrêmes sont enregistrées à travers le pays.
Ce n’est plus d’une vague qu’on parle, mais d’une tendance qui s’inscrit dans la durée dans le contexte des changements climatiques.
Et la clim n’y peut rien. Ou pas grand-chose.
D’autant plus que toutes les activités ne se déroulent pas au bureau.
Les entreprises subissent de plein fouet la baisse de rendement, le stress, les risques d’accidents de travail, ainsi que les contraintes liées à la maîtrise de la chaine de froid, à l’avarie de stocks, et aux coûts de l’énergie.
Certaines activités, de par leur nature, ne peuvent être réalisées : Je pense au coulage du béton, ou à certains travaux agricoles
Que peut-on faire ?
Là aussi, comme en toutes choses, par ailleurs, il n’y a pas de recette miracle. Ni de solution unique.
On pourrait, tenant compte, du contexte de l’entreprise, c’est-à-dire, du domaine d’activité, de son mode d’organisation et de son implantation géographique, envisager une ou plusieurs possibilités :
Organiser les départs en congé annuel, de la totalité ou d’une partie de l’effectif ;
Réduire le temps de travail, qui pourrait être intégrée dans l’annualisation du temps de travail ;
Modifier les horaires de travail ;
Organiser le travail en deux séances avec un retrait pendant les heures de fortes chaleurs ; notamment pour les activités en plein champ :
Mettre à la disposition des travailleurs et des visiteurs des distributeurs d’eau fraiche ;
Organiser les déplacements de longues distances la nuit.
On pourrait aussi imaginer d’autres solutions, y compris, celles qui consistent à rechercher des équipements de protection individuelle adaptés.
Vous avez d’autres idées ? Partageons !

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