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Une nouvelle approche de l’accompagnement des jeunes entrepreneurs

Le directeur de la filière « Alger Ouest » de Agence nationale d’appui et de promotion de l’entrepreneuriat (ex ANSEJ) , Abdelkader Ghoumri  a affirmé mardi que le changement de l’appellation ne reflète pas un «échec de cette institution» mais il exprime plutôt un changement de «vision et de stratégie notamment pour ce qui est des perspectives qui doivent être prises en considération lors de la création de nouvelles activités».

S’exprimant lors d’un interview réalisée par l’équipe digitale de notre confrère arabophone « El Wassat », l’intervenant a souligné pour ce qui est de ce changement l’importance et la prévalence de l’ «approche économique .Ce changement émane aussi de l’ «écoute que la tutelle a  fait prévaloir au niveau de certaines catégories de bénéficiaires tel que les petites entreprises intéressées par l’exportation ainsi que les femmes entrepreneuses ce qui a permis d’établir une nouvelle stratégie visant la promotion de la performance à l’égard des jeunes».

Concernant les entreprises financées par l’agence et qui font face à des problèmes actuellement, il a classé ce genre d’entreprises en deux catégories, la première est celle des entreprises irrécupérables comme celles dont les bénéficiaires sont décédés ou celles dont les matériaux ont été confisqués par les banques. Le traitement de ces dossiers se fera, selon l’intervenant, par la Caisse nationale de garantie des risques de crédits qui va par la suite « rembourser les banques » à cet effet.

En dehors de ces raisons, i y a une autre catégorie d’entreprises qui font face à des problèmes et dont la situation est récupérable. A ce propos, il dira : «il faut voir comment régler leurs problèmes, voir dans leurs efficacité économique ou leur donner un nouveau souffle ».

« la tutelle a signé une convention en septembre 2020 qui régit l’effacement des pénalités de retard et les sommes liées au crédit bancaire essentiel ainsi que le rééchelonnement de la dette à une limite de 5 ans et ce avec des facilités en faveur des détenteurs de dossiers. Ces derniers ont fait objet également d’un allégement considérable comme par exemple l’annulation de la condition qui exige une contribution personnelle entre 5 et 10%».Synthèse et traduction : Aziz.Latreche

 

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